Participants : Philippe L, Réal, Nathalie Dr, Yvan, Annette
Animateurs : Muriel, Thierry
Invités : Brahim et Laetitia
Brahim parle de son expérience des chantiers et plus particulièrement son chantier actuel à Facere.
Lorsqu’il fait des chantiers, il travail bénévolement pour aider les gens.
Il aime travailler avec des personnes moins valides.
Il y deux capitales au Maroc : Rabat (capital politique) et Casablanca (capitale économique).
Il décrit le Maroc, il est entouré par deux mers, la méditerranée et l'atlantique.
Brahim est instituteur et il aide aussi les enfants après les cours.
Il inscrit ses enfants à des concours de théatre ou d'éveil scienifique. Il propose des ateliers de coiffure ou de peinture. Il essaye de les garder un peu plus longtemps pour des choses constructives à l'école car chez les parents, les conditions sont difficiles et ils sont envoyés travailler
Il a fait un spectacle avec sa classe sur le thème de la pédophilie car dans son pays on n’en parle beaucoup.
Il s'occupe d’une maison des jeunes.
Son association n’a pas beaucoup d’argent.
Tous les jours, après le cours il aide les enfants à faire leurs devoirs, car quand ils rentrent chez eux ils doivent aider les parents pour les tâches ménagers.
Essaouira est un ville du Maroc où il y a beaucoup de vent, c’est la ville des surfeurs.
Il a fait plusieurs chantiers, France, Angleterre.
Il aime s’occuper des personnes moins valides.
Au Maroc, ils sont fort "familles".
Il n’y a pas de structure pour les personnes moins valides et les personnes âgées.
Il aime Bruxelles, la Grand Place, les cathédrales.
Le roi Mohamed 6 habite à Rabat.
Au mois de septembre, ils vont devoir aller voter.
Le Maroc est un pays assez libre.
Pour voyager il n’a jamais eu de problèmes question visa.
Au Maroc, il faut savoir trafiquer.
Après son séjour en Belgique, il va voir un membre de sa famille en Allemagne.
Laetitia va partir au Québec et un peu voir leur mode de vie et aussi apprendre dans le domaine social.
C’est dans le cadre d’un projet "vacances-travail".
Pour passer un an là-bas, il faut au 2.000 euros sur son compte bancaire et une bonne assurance rapatriement.
Elle compte aller à Montréal.
Elle part avec son ami qui est passionné de nature.
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